La famille chez qui j’étais « fille au pair » habitait GRASSE, cité des parfumeurs. C’est ainsi que j’ai découvert la région et ses petits villages qui, depuis, ont perdu leur vocation agricole traditionnelle de la culture des fleurs. Déjà à cette époque, nous sentions les prémices de la délocalisation par le transfert des productions en Tunisie. Aujourd’hui, ce sont des villégiatures de vedettes et de fortunés que les touristes s’empressent de visiter. C’est avec plaisir que j’ai fait partie de ces promeneurs cet été : ce fût une mini-cure de jeunesse parfumée.
